Le ministère de Jésus en Galilée

Message no: 8

Temps de lecture: 11 minutes

1.César Auguste face à Jésus-Christ

Jésus commence son ministère vers l’âge de 30 ans. Jean le Baptiste vient d’être emprisonné par Hérode lorsque Jésus commence son ministère. Il quitte Nazareth et se rend à Capernaüm en déclarant : « Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous et croyez à la bonne nouvelle » (Marc 1 :15). La notion de « le temps est accompli » revêt une importance capitale. En grec, il y a deux mots importants pour le temps: Le premier, Khronos, évoque le temps chronologique, que nous mesurons et consultons à l’aide de nos montres. Le second, Kairos, est plus subtil ; il désigne un moment clé où tous les éléments essentiels convergent pour accomplir un grand évènement. Il semble que Marc fasse référence à Kairos plutôt qu’au simple temps chronologique en évoquant l’avènement de Jésus. Dieu retourne à Sion pour régner en tant que Roi. Et n’oublions pas qu’il vient régner au milieu de l’empire romain qui gouverne Israël.

César Auguste, né avant l’ère du Christ, était également désigné comme le fils de Dieu. À sa naissance, une croyance régnait dans le monde selon laquelle son règne apporterait un nouvel ordre mondial de paix et de justice pour tous les peuples. En histoire, cette période de paix romaine qui s’étend sur environ deux siècles, de 27 av. J.-C. à 180 ap. J.-C., sous le règne de l’empereur César Auguste et de ses successeurs, est connue sous le nom de « Pax Romana ». Elle est caractérisée par une relative stabilité et l’absence de guerres civiles à l’intérieur de l’empire, ainsi que par la sécurisation des frontières externes. On croit que cette période a favorisé le commerce, l’essor économique et culturel dans tout l’Empire romain. Mais lorsque l’ange Gabriel apparut à Marie, il apporta une nouvelle étonnante et pourtant contradictoire: « L’enfant qui naîtra sera appelé Fils de Dieu» (Luc 1 :35). Au commencement de son ministère, Jésus se proclama Lui-même comme le véritable souverain du monde. En d’autres termes, Jésus lance un défi intrépide au monde romain, affirmant que la Bonne Nouvelle pour la paix du monde ne commence pas avec César Auguste, mais avec Lui-même, Jésus, le Messie juif, le véritable Fils de Dieu. Comment peut-on douter, surtout d’autant plus que nous nous rappelons que, à la naissance de Jésus, un ange de Dieu est apparu aux bergers pour leur annoncer que le Sauveur, le Christ du Seigneur, est né à Bethléem, la Cité de David. Et Luc souligne même que l’ange fut aussitôt rejoint par une armée céleste, chantant un hymne de victoire : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et sur terre paix aux hommes qu’il aime » (Luc 2 :13-14). Il ne s’agissait point d’une simple chorale, mais bien d’une armée céleste qui entonnait ses chants. Ce témoignage illustre que dans Son Royaume, Dieu bénéficie d’une puissante et imposante armée, constituée d’anges aux membres solides et vigoureux.

Si vous pensiez que le royaume de Dieu c’est uniquement un royaume des mots, veuillez y réfléchir à nouveau. Pourquoi Jésus affirme-t-il que ses brebis sont dans sa main et dans celle du Père, et qu’aucune force ne peut les arracher de son emprise ou de celle de Son Père (Jean 10:26-29) ? C’est parce que son royaume est doté de pouvoir. Nous n’avons qu’à observer ce pouvoir dans les guérisons et les miracles que Jésus a accomplis. Bien qu’Il soit vrai que les faiseurs de miracles et les exorcistes existaient avant que Jésus ne vienne, il est également vrai que lorsqu’Il est venu, les gens ont vu 2 quelque chose de différent. Lorsque Jean le Baptiste était confus et a envoyé ses disciples vers Jésus pour demander s’il était vraiment le Messie, Jésus leur a dit d’aller dire à Jean ce qu’ils avaient euxmêmes vu et entendu: les aveugles recouvrent la vue, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent et la bonne nouvelle est prêchée aux pauvres (Luc 7:22). Cette liste montre que le pouvoir guérisseur du royaume de Dieu est arrivé sur terre, confirmant le règne de notre Dieu tout puissant.

C’est pourquoi le premier miracle enregistré dans Marc est l’expulsion d’un esprit maléfique (Marc 1:21-28). Cela montre que Jésus était venu pour détruire les œuvres du diable (1 Jean 3:8). Le pouvoir de Jésus est venu renouveler et restaurer la création qui avait été maudite par Satan: Il guérit les aveugles (Luc 18:35-43), les boiteux (Marc 2:1-12), les muets et les sourds (Marc 7:31-36), et le lépreux (souffrant d’une affection cutanée ; Luc 17:11-19). Jésus apaise la mer agitée (Marc 4:35-41), nourrit les affamés (Marc 8:1-10), et ordonne une pêche miraculeuse (Luc 5:1-11). Il ressuscite son ami Lazare d’entre les morts (Jean 11), le fils de la veuve (Luc 7:11-17), et la fille de Jaïrus (Marc 5:21-43). Les gens ont vu comment le pouvoir de Dieu conquérait la maladie et la mort.

2. Les sources de pouvoir de Jésus : le Saint-Esprit et la prière

Quel était le pouvoir secret de Jésus pour manifester le Royaume de Dieu? N’oublions pas que Jésus était à 100% le Fils de Dieu (et Dieu) et à 100% homme comme vous et moi. Les sources de pouvoir de Jésus sont: le Saint-Esprit et la prière. Marc montre qu’après avoir guéri des gens, il se rendait tôt le matin pour trouver un endroit où prier (Marc 1:35). Parfois, il priait toute la nuit (Luc 5:16 ; 6:12). Pourquoi prier ? C’est parce que la prière nous rapproche du Père. Jésus a mené sa mission dans une communion intime avec Dieu qu’il appelait Abba, « Père » (Marc 14:36 ; Jean 17:1-3). Abba est un terme araméen (la langue parlée par Jésus). C’est un mot familial utilisé pour exprimer l’intimité particulière qui peut exister entre des membres de la famille proche. Les Juifs révéraient Dieu, le Créateur du ciel et de la terre, mais ne pouvaient jamais le voir aussi près d’eux et l’appeler Abba, alors que pour Jésus, il l’était. Bien sûr, il était à l’intérieur de son Père en tant que Parole éternelle de Dieu avant la création et avant de prendre la chair humaine lorsqu’il est venu sur terre (Jean 1 :1-14).

C’est pourquoi Jean affirme avec éloquence : « Personne n’a jamais vu Dieu; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître » (Jean 1:18). Mais que signifie exactement l’expression « dans le sein du Père » ? Elle révèle que Jésus possédait une connaissance intime de Dieu, comparable à celle d’un ami envers un autre – une connaissance de son caractère, de ses desseins et de sa nature, que personne d’autre ne possédait. Cela Le rendait donc qualifié par-dessus tout autre pour révéler le véritable visage de Dieu (Commentaire d’Albert Barnes). Par ailleurs, à sa naissance, Jésus fut conçu par l’Esprit de Dieu (Jésus avait une mère humaine, Marie, mais pas de père humain). Et c’est ce même Esprit qui fut répandu sur lui lors de son baptême pour l’habiliter à accomplir sa mission (Luc 4:18-19). C’est ainsi qu’Il accomplit sa mission dans la puissance de l’Esprit, comme Luc nous le rapporte en Actes 10 :38 ceci : « Vous savez comment Dieu a oint du Saint Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l’empire du diable, car Dieu était avec lui. » La phrase « avec Dieu » est un grand thème dans la Bible. Par exemple, il est dit qu’Enoch a marché avec Dieu. La question à se poser est donc : « Suisje avec Dieu ? » et « Êtes-vous avec Dieu ? »

Il est facile pour nous de dire que là où est Jésus, là est le Royaume, mais il est également vrai de dire que là où est l’Esprit, là est le Royaume. En d’autres termes, Jésus entretenait une communion profonde avec Dieu, son Père, dans la prière, et de cette communion, l’Esprit de Dieu et sa puissance étaient libérés pour guérir et restaurer un monde souffrant.

3. Contre-Attaque face à la Mission du Royaume de Jésus

La mission de Jésus expose la venue du Royaume de Dieu d’une manière que les pharisiens ne peuvent pas avaler. Ils persistent à rechercher un royaume où Israël serait soudainement et violemment libéré du joug de la Rome païenne. Les Pharisiens se présentent comme des séparatistes, des gardiens autoproclamés de l’identité juive, convaincus que celle-ci est menacée par la culture païenne. Ils accordent une importance particulière aux lois alimentaires, à la dîme et au respect du sabbat – tous ces éléments font partie de la stratégie des pharisiens pour maintenir leur pureté, pensant que c’est ainsi qu’ils seront délivrés du contrôle des Romains. Ils ont établi une frontière rigide entre les Juifs purs et les païens (les Romains), voire même entre le Juif orthodoxe pur et celui qui s’est compromis culturellement et religieusement, celui qui n’a pas réussi à atteindre le standard pharisien de séparation. Mais Jésus défie avec audace les vues rigides des pharisiens concernant le sabbat et les lois alimentaires. Il mange et boit délibérément avec toutes les personnes que les pharisiens excluraient. Il est crucial pour nous de comprendre que le défi posé par Jésus ne se limite pas à son rejet des symboles culturels juifs. Ce que Jésus rejette, ce ne sont pas seulement ces symboles morts auxquels les Pharisiens s’accrochent, mais surtout la signification exagérée accordée à ces éléments. En plus, leur esprit de séparation a engendré en eux la division, la haine et le désir de vengeance contre les Romains. Depuis quand peuton associer Dieu à la haine ? Ces attitudes de colère et de haine n’ont pas leur place dans l’appel de Dieu aux Israélites, car ils sont appelés à aimer leur prochain s’ils veulent devenir la lumière du monde. Contrairement à la vision erronée de la vocation d’Israël par les pharisiens, Jésus met en lumière la mission que Dieu a confiée à Israël. Le conflit entre Jésus et les pharisiens s’intensifie car ils ne partagent pas la même compréhension. Par exemple, Jésus accorde le pardon des péchés à un paralytique et le guérit pour authentifier son autorité (Marc 2:1-3; 6; Luc 5:17-6:11). Et les pharisiens veulent se déchirer les vêtements. En fait, ce qui irrite le plus les pharisiens, ce n’est pas simplement que Jésus pardonne les péchés de l’homme, mais le fait qu’il l’ait fait « en dehors du temple, pour les mauvaises personnes auxquelles Il ne devrait pas accorder de faveur, et de sa propre autorité », dépasse à jamais leur entendement. Selon eux, le temple de Jérusalem est le seul endroit désigné par Dieu où l’on peut trouver le pardon – certainement pas dans tout autre endroit considéré comme sale et impur. Mais Jésus accorde aux nécessiteux les dons de son Royaume en contournant le temple. Pour les Pharisiens, comme l’explique l’écrivain Wright dans notre contexte actuel, « Jésus était perçu comme quelqu’un qui délivrait des permis de conduire de sa propre autorité alors qu’il n’est pas l’État ». Pour les Pharisiens, le don de pardon de Jésus rivalise avec le pardon même de Dieu, ils l’accusent de blasphème. À cette époque-là, être accusé de blasphème ou reconnu comme un faux prophète signifiait être condamné à la lapidation. Comme lorsqu’on a accusé Jésus d’accomplir des guérisons avec le pouvoir de Beelzebub, les Pharisiens et les chefs religieux étaient prêts à Le lapider (Nous aborderons cela la prochaine fois).

Les pharisiens sont offensés par le fait que Jésus fréquente ceux qu’ils considèrent comme des « mauvaises gens ». Ils s’interrogent: «Pourquoi mange-t-Il avec les collecteurs d’impôts et les pécheurs ?» (Marc 2:16). Il est à noter que les pharisiens ne se nourrissaient pas de n’importe quoi ni n’importe comment, car ils craignaient de s’impliquer dans le paganisme. Ils observaient donc rigoureusement les lois de pureté alimentaire dans leurs foyers, ne consommant que ce qui était prescrit pour le temple. Pour eux, il ne s’agissait pas seulement de ce que l’on mangeait, mais aussi de la manière dont cela était préparé, de la purification du corps avant les repas, et même de l’identité des convives à la table pour partager les repas – ces lois étaient toutes des manifestations de la sainteté personnelle. Alors que Jésus ne se purifiait pas pour sa propre sainteté personnelle, mais pour l’humanité tout entière. Ces rituels visaient à maintenir une distance entre le Juif « saint » et l’étranger 4 « impur » – qu’il soit juif ou païen (Marc 7:2-4). Jésus a scandalisé les pharisiens en étendant sa communion aux soi-disant « gens impies ou impurs ». C’est en raison de ces rituels que nous trouvons un grand nombre de personnes qui ne répondaient pas aux critères des prétendus « vrais Juifs », et qu’on appelle « les brebis perdues d’Israël ». Jésus les ciblait en premier dans son ministère. Souvenez-vous qu’Il a donné ces instructions à ses disciples : « Allez plutôt vers les brebis perdues de la Maison d’Israël » (Matthieu 10:6). Le

jeûne était une source de désaccord supplémentaire. Les pharisiens demandent à Jésus pourquoi eux jeûnent alors que ses disciples ne le font pas? (Marc 2:18-22). Leur jeûne était motivé par l’attente du Messie, censé les libérer des Romains et leur octroyer le Royaume. Cependant, Jésus leur explique que ni Lui ni ses disciples ne peuvent jeûner, car le Royaume est déjà là. Il illustre cela en comparant l’absence et la présence de l’époux lors des festivités (Marc 2:19-20). De plus, les pharisiens scrutent attentivement si Jésus, qui proclame que le Royaume est arrivé, respecte au moins le Sabbat. Mais une fois de plus, ils sont déçus. Il remet en question leur compréhension même du Sabbat. Cela semble être un conflit sans fin, où chaque rencontre suscite de nouveaux désaccords et controverses.

4. Jésus accueille les pécheurs et les marginalisés

Dans sa communauté du Royaume, Jésus inclut les pauvres, les malades et les brebis égarées – tous ceux qui sont marginalisés au sein d’Israël. Il n’ignore pas complètement les pharisiens et les chefs religieux (ils sont également les bienvenus s’ils choisissent de Le suivre). Cependant, ils le qualifient de « compagnon des collecteurs d’impôts et des pécheurs » (Matthieu 11:19; Luc 7:36; 14:1-24). Mais Jésus ne s’en offense pas. Il se compare plutôt à un médecin venu pour soigner les malades et non les bien-portants. Jésus reconnaît que son ministère est principalement orienté vers les pécheurs et non les justes (Marc 2:17). Il est venu « chercher et sauver ce qui était perdu » (Luc 18:19 et Luc 15). Dans la parabole du grand festin, le maître des réjouissances ordonne à ses serviteurs d’inviter gracieusement les démunis, les infirmes, les aveugles et les estropiés à se joindre au banquet (Luc 14:21). Ces individus, marginalisés par la société juive, sont chaleureusement accueillis par Jésus dans le Royaume de Dieu. C’est là le message même du Sermon sur la montagne, tel qu’exprimé dans les chapitres 5, 6 et 7 de Matthieu. Ceux qui souffrent de la faim, de la pauvreté, du chagrin, et ainsi de suite, sont bienvenus dans le Royaume de Dieu.

Bien que Marc évoque le ministère de Jésus de manière adéquate, Luc offre une compréhension plus profonde. Luc présente quatre groupes spécifiques comme les bénéficiaires principaux de l’attention de Jésus : les « pécheurs », « les collecteurs d’impôts », « les prostituées et les démunis », y compris les « malades ». Aux yeux des pharisiens, les pécheurs englobent non seulement les adultères, les prostituées, les meurtriers, les voleurs et les fraudeurs, mais également toute personne qui ne suit pas leurs enseignements. Jésus accueille dans le Royaume de Dieu les pauvres, les mendiants, les malades et les handicapés. Son enseignement révèle l’inclusion des marginalisés de la société juive dans son Royaume de Dieu. Selon les pharisiens, les pécheurs, les malades et les pauvres devraient être exclus de la communauté car ils sont considérés comme étant sous le jugement de Dieu (Jean 9:2). Cependant, Jésus utilise le repas où il invite les marginalisés comme exemple de ce à quoi le Royaume de Dieu devrait ressembler. Par cette action, Jésus remet en question les pratiques sociales de la société romaine et juive : les hiérarchies sociales, les frontières divisives et l’exclusion sont abolies sans aucune intention de les rétablir.

Il est désormais manifeste que Jésus est en train de former une communauté du Royaume qui incarne un modèle social différent. En partageant des repas avec ces personnes marginalisées, Jésus fait une affirmation positive sur le Royaume de Dieu: les pécheurs, les collecteurs d’impôts, les prostituées, 5 les pauvres et les malades, bien qu’ostracisés du point de vue religieux par les autres, ne sont pas exclus du banquet du Royaume du Messie. Il les accueille dans sa communion jour après jour. Ses miracles de guérison démontrent également qu’Il accepte tous et toutes dans le Royaume de Dieu. Quand Il touche les aveugles, les sourds, les lépreux, non seulement Il guérit leurs corps et les libère de l’oppression, mais Il les réintègre également dans la communauté. Parfois, Il les renvoie pour se montrer aux prêtres, comme pour dire : « Nous sommes maintenant purifiés, plus jamais nous ne devons être exclus. » Ô, notre Seigneur nous guérit et nous réhabilite dans la société pour travailler à Son Royaume. Les moqueries à notre égard ne résonneront plus. Alléluia!

5. Jésus nous enseigne comment vivre dans Son Royaume

Il est essentiel pour nous de comprendre la vision de Jésus concernant le Royaume de Dieu et sa façon d’accueillir les gens dans sa communauté royale, afin que nous puissions saisir la signification de vivre en tant que citoyens de ce Royaume. Nous menons une vie distinctive et sommes destinés à percevoir les choses sous un angle différent. Certes, l’opposition viendra, mais le Roi que nous servons a triomphé de tout, même de la mort. Il défendra Son saint nom que nous portons et ne le laissera jamais être profané. Jésus avait environ 30 ans lorsqu’il a lancé le mouvement du Royaume, sans craindre ni les Juifs ni les Romains. Malgré sa jeunesse, il a sacrifié tout pour une noble cause – sauver le monde. Et vous, jeunes hommes et jeunes femmes, que faites-vous, ou plutôt qu’attendezvous pour rejoindre la Communauté du Royaume?

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Questions

1.Pourquoi Jésus invite-t-il les envoyés de Jean le Baptiste à observer les miracles qu’Il accomplit et à les rapporter à Jean, plutôt que de répondre directement par un message verbal ?
2.Quel était le secret du pouvoir de Jésus pour manifester le Royaume de Dieu, et en quoi ce secret est-il important pour chaque disciple aujourd’hui ?
3.Pourquoi, dans son ministère, Jésus dirige-t-il son attention vers des groupes spécifiques comme les pécheurs , les collecteurs d’impôts, les prostituées » et les démunis ?
4. Décrivez en vos propres termes comment était la communauté royale de Jésus. (La plupart des idées présentées dans ce message sont tirées du livre, ‘The Drama of Scripture: Finding Our Place in the Biblical Story’ de Craig D. Bartholomew et Michael W. Goheen).

N’oubliez jamais de répondre à la question ‘Qu’est-ce que le Royaume de Dieu?’ Le Royaume de Dieu est un ordre des choses dans lequel la volonté de Dieu est suprême. Jésus- Christ est venu rendre possible et réel le règne de Dieu dans votre coeur si vous décidez de L’accepter et Le suivre

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